Si tu hésitais encore à passer aux vêtements de seconde main pour pimper ta garde-robe, c’est que tu n’as certainement pas encore franchi le seuil de Jolis Caprices !
Situé au coeur du Vieux-Lille, au 14/16 rue de Pétérinck, Jolis Caprices est un dépôt-vente aux allures de boutique de prêt-à-porter ultra tendance. Il se suffira de découvrir ses innombrables pépites pour te convertir en une inconditionnelle de la mode d’occasion. Clotilde, la pétillante créatrice de cet écrin de la seconde main a su mixer les ingrédients indispensables pour faire de son concept une adresse incontournable de la métropole lilloise !
Chaque jour, de nouveaux arrivages viennent compléter ses portants. Clotilde sait avec brio les mettre en valeur pour créer des silhouettes tendances et tentantes… Un pari osé, relevé haut la main par la jeune femme qui ne manque pas d’idées pour susciter de bien jolis caprices chez ses clientes…
Comment Clotilde a-t-elle eu l’idée de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale ? Pourquoi la seconde main ? Quel est son parcours ? Découvre tout de suite l’histoire de Jolis Caprices !
Qui est Clotilde, créatrice de Jolis Caprices ?
La seconde main ? Honnêtement, Clotilde ne s’y intéressait pas plus que cela. Pourquoi ? Sûrement pour les mêmes raisons qui te freinent peut-être aujourd’hui à franchir le pas !
On ne va pas se mentir, si tu as déjà mis les pieds dans une friperie, l’odeur de renfermé ou de naphtaline t’as sûrement déjà chatouillé les narines…et rebuté. Rechercher la perle rare ? Autant parler de fouilles archéologiques ! Oui, car c’était ça l’idée de la seconde main…avant ! Pas de quoi susciter l’engouement et encore moins une vocation !
Clotilde, qui ne sait pas encore que les gènes familiaux de l’entreprenariat vont bientôt se réveiller, a suivi un brillant cursus à l’IAE de Lille en Marketing et Communication.
Trouver son premier emploi
Son diplôme en poche, c’est pleine d’enthousiasme qu’elle se lance dans la recherche de son premier emploi.
Enthousiasme bien vite altéré par le nombre d’entretiens épuisants, classés sans suite et sans raisons valables…Que dire des descriptifs d’annonces infinis et aux compétences sorties de nulles parts pour des salaires dérisoires ? Et on en parle de ces « offres de stages » court-circuitant le monde de l’emploi ?
Bref, un parcours du combattant qui finit heureusement par un dénouement positif en 2017. Au bout d’un an de recherche intensives, Clotilde est embauchée en tant que chargée de communication au pôle enseignement et formation continue de la Catho.
Une belle opportunité pour la jeune femme, ravie de pouvoir enfin faire concrètement ses débuts dans la vie active.
En 2018, elle achète avec son conjoint une maison à Lomme. Leur cocon à la particularité de posséder une cellule commerciale au rez-de-chaussée. Jadis, ancien coiffeur, le local n’est plus utilisé depuis bien longtemps…
La pièce sert alors plutôt de débarras aux anciens propriétaires.
En parallèle, les mois passants, Clotilde se rend à l’évidence : la motivation de ses débuts à son poste de chargée de communication s’essouffle peu à peu. La cause ? Les projets sont certes intéressants, mais il arrive parfois qu’elle s’investisse sur une mission finalement abandonnée avant même de voir le jour. Une vraie frustration !
Côté maison, Monsieur verrait bien cette fameuse cellule commerciale reprendre un jour du service, peut-être sous la forme d’une location…
C’est là que l’idée de saisir sa chance a pris tout son sens pour Clotilde.
Ce local, sa maison, son job pour lequel elle n’était plus aussi enjouée qu’à ses débuts, cela faisait beaucoup de signes à écouter…
Trouver le bon concept
Passionnée de mode, attentive aux dernières tendances, Clotilde se souvient de ses stages en première année de Master effectués dans de grandes enseignes : Sandro, les Galeries Lafayettes…et rapidement l’idée de créer sa propre boutique de prêt-à-porter s’impose comme une évidence.
Mais un autre critère, et pas des moindres entre en jeu : ce projet devra correspondre à ses valeurs, c’est-à-dire comporter une dimension éthique.
Quitte à se lancer dans l’aventure de l’entreprenariat, autant s’investir pleinement dans un projet qui a du sens, autant pour sa créatrice que pour le public.
Et si Clotilde n’avait pas encore songé à la mode de seconde main, c’est qu’elle-même n’était alors pas encore consommatrice. Pourquoi ? Parce qu’il n’y avait jusque-là pas encore de boutique attrayante ! Bingo ! Ce sera son idée, son concept !
En février 2020, plus que jamais motivée, Clotilde signe sa rupture conventionnelle, libérée de son étiquette de chargée de communication. C’était sans compter sur cet imprévu qui aura surpris tout le monde de cours : la crise sanitaire de la Covid-19 et avec elle son confinement…
Mettre à profit le confinement pour créer sa boutique
Loin de se laisser décourager, Clotilde met à profit ce temps ralenti imposé pour créer sous toutes les coutures la boutique de ses rêves. Elle retrousse ses manches et se lance dans les travaux de rénovation. Elle abat un boulot titanesque pour donner un autre visage à ce local ! Faux plafond, couches de plâtres à gratter pierre par pierre et poussière persistante, il valait mieux avoir de l’huile de coude ! Mais avec l’objectif d’une ouverture prévue pour septembre 2020, rien de l’arrêta.
Jolis Caprices voit ainsi le jour : écrin au charme naturel où se mêle la brique et les poutres apparentes. Ce petit cocon de 30 m2 dédié à la mode de seconde main était fin prêt à offrir une nouvelle vie aux vêtements.
Et ce n’est que le début de l’aventure…
De Lomme à Lille, l’aventure grandit
Si Clotilde a bien compris que les opportunités ne doivent pas se laisser passer, la prochaine confirme à quel point la jeune femme est dans son élément !
Moins de deux ans après l’ouverture de la boutique de l’avenue de Dunkerque, c’est une nouvelle aventure qui prend forme sous les traits d’une nouvelle boutique située rue au Pétérinck dans le Vieux-Lille !
Comment ça marche ?
Dès le début de son concept, Clotilde s’est mise en quête des vêtements qui viendraient remplir les portants de sa boutique. Et à sa grande surprise, c’est la ruée des demandes de dépôts .Pour chacun d’entre eux, Clotilde réalise un contrat de deux mois. Elle sélectionne rigoureusement des pièces à l’état irréprochable, toujours avec un œil de modeuse avertie pour les imprimés et coupes tendances.
« Je n’ai pas de critères par rapport aux marques. Je peux sélectionner des vêtements de boutiques indépendantes ou de grandes enseignes, tant qu’ils sont dans un état impeccable et dans la tendance actuelle. »
Un réassort quotidien
Tous les jours de nouvelles pépites arrivent en boutiques. Un ballet d’arrivées et de sorties qui obligent la créatrice a être plutôt bien organisée ! Mieux qu’une boutique de prêt-à-porter traditionnelle tenue de respecter les collections, chez Jolis Caprices, les nouveautés arrivent chaque jour le plus grand plaisir des fashionistas désireuses de renouveler avec style leur garde-robe à petit prix.
Car justement le style, il n’en manque pas chez Jolis Caprices!
Quotidiennement Clotilde met en scène sur son compte Instagram, les nouveautés et crée des looks à faire pâlir d’envie Cristina Cordula. Un vent de fraîcheur souffle sur la seconde main, qu’on se le dise !
Quelle ambiance chez Jolis Caprices ?
Je me suis mise à la place des clientes. Moi je n’aime pas fouiller, donc ici tout est rangé par tailles. Je voulais créer une ambiance de boutique et pas de friperie. En général c’est un compliment qui revient souvent !
Pourquoi avoir choisi le nom Jolis Caprices ?
J’ai choisi un nom qui parle aux femmes. Quand on achète un vêtement, c’est un peu comme un petit caprice. Et « joli » correspond à la nature éthique du concept avec la seconde main.
Une place de choix pour découvrir de nouvelles créatrices
En plus de dénicher de jolies pépites pour ton dressing, tu pourras aussi craquer sur les accessoires de créatrices lilloises disponibles au sein de la boutique ! Des bijoux (comme ceux de CréAlex by Alexia), pochettes, accessoires textiles, headbands (comme ceux d’E.nais) qui viendront très judicieusement compléter un look made in Jolis Caprices !
Où retrouver Jolis Caprices ?
Tu as décidé de passer à la seconde main ? Quelle bonne idée ! Clotilde se fera un plaisir de t’accueillir dans sa boutique au :
Jolis Caprices
14/16 rue au Pétérinck, à Lille
Tu ne peux pas te déplacer ? Tu es trop loin et tu as flashé sur un modèle ? Pas de panique !
Offre toi ce joli caprice grâce à l’e-shop sur le site internet !
Ne manque aucune nouveauté en t’abonnant aux comptes Instagram et Facebook
Découvre en vidéo la présentation de Jolis Caprices réalisée par la talentueuse Clémentine de Open Your Cam
Cet article t’a plu ? Tu es adepte de la seconde main ? Alors fonce découvrir Les Trouvailles de Béné | Pionnier du dressing seconde main à Lambersart
